Washington-le Président Trump a présenté un plan pour la sécurité nationale du pays


Washington-le Président Trump a présenté un plan pour la sécurité nationale du pays 

Washington-le Président Trump a présenté un plan pour la sécurité nationale du pays lundi qui met en garde contre un monde perfide dans lequel les États-Unis face à des menaces croissantes d'une Russie enhardie et la Chine, ainsi que de ce qu'il appelle les gouvernements voyous, comme la Corée du Nord et l'Iran.

Pour parer à ces multiples défis, le rapport dit qu'avec l'urgence de la guerre froide, le gouvernement doit mettre «l'Amérique en premier», en renforçant ses frontières, en déchirant des accords commerciaux déloyals et en reconstruisant sa puissance militaire.

Mais dans son discours annonçant la stratégie, m. Trump a frappé un ton très différent. Au lieu d'expliquer la nature de ces menaces, il a livré une adresse campaignlike, avec des appels familiers pour construire un mur le long de la frontière sud avec le Mexique et une forte dose d'auto-Félicitations pour le marché haussier, le taux de chômage faible et les réductions d'impôt, qui, il promis, étaient "jours de suite."

"l'Amérique est dans le jeu, et l'Amérique va gagner," at-il dit, à un public qui comprenait des membres du Cabinet et des officiers militaires.

Le décalage entre le discours du Président et l'analyse dans le document de son administration atteste du défi plus large auquel ses conseillers de sécurité nationale ont fait face, car ils ont lutté pour développer un cadre intellectuel qui englobe les imprévisible, conduite au pays et Twitter-alimenté approche de la politique étrangère. La même confusion a confronté les gouvernements étrangers qui essaient de comprendre les signaux contradictoires de m. Trump.

M. Trump, par exemple, a parlé de la façon dont la Russie et la Chine «cherchent à contester l'influence américaine, les valeurs et la richesse. Mais il n'a fait aucune mention de l'ingérence russe dans l'élection présidentielle 2016, même si le document lui-même fait allusion fugace à "la Russie en utilisant des outils pour tenter de saper la légitimité des démocraties."

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